lundi 28 août 2006

La nouvelle génération de motards ne connaissent peut être pas le Prince noir. Si je vous parle de Ghost rider ça vous dit peut être quelque chose. C'est un peu le prince noir d'aujourd'hui... Le genre de timbré qui réalise des exploits avec caméra embarquée pour immortaliser tout ça. Pilote devant l'impossible ils n'en restent pas moins dangereux. Il faut le dire. Leur circuit est sur route ouverte, leurs ralentisseurs sont les automobilistes, leurs commissaires de piste sont les représentants de la force de l'ordre. Pourquoi ? C'est la question qu'on est en droit de se poser... Pourquoi font-ils ça ? Pour la gloire ? Je ne sais pas, ils doivent certainement aimer qu'on parle d'eux mais restent très discrets quant à leur réelle identité. Christian Lacombe, un ancien de Moto Journal aurait rencontré cet énigmatique personnage...




Ce reportage, réalisé par la 5 retrace la folle course contre lui-même du Prince noir sur le périphérique parisien. On adhère ou on adhère pas. Mais forcément on se pose des questions comme je le disais dans l'introduction de cet article. Et celle qui revient le plus souvent est pourquoi ? Pourquoi prendre de tels risques (et en faire prendre aux autres par la même occasion) sur route ouverte ? En cas de choc une moto lancée à plus de 200 km/h ferait d'énorme dégâts ! Je ne suis pas là pour juger, mais tout ce que je peux dire est que cette vidéo n'est pas un exemple à suivre. Nous perdons trop de collègues chaque années sur ces routes si meurtrières.
Le Prince noir n'est pas une légende, il aurait avoué vouloir révéler son identité le jour de ses 50 ans... Et ses amis l'avaient fait passé pour mort après la diffusion du reportage... Aujourd'hui J'aimerais rencontrer le Prince noir pour lui demander ce qu'il pense de ces exploits avec du recul, lui demander les raisons qui l'ont poussé à faire ça (pari entre potes ? défi avec lui même ?...).

Prince noir, si tu me lis : kyllia@motoshop.fr

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